Nous finissons par le tant attendu pavillon japonais.
Pour les amateurs de la culture nipponne que nous sommes, quelle joie. Nous commençons par l’extérieur, avec le lac et ses carpes koï, l’architecture typique, et cette végétation, qui nous transportent. Tout est réuni pour nous séduire.
C’est tellement calme quand on se balade dans ce jardin, j’avais vraiment l’impression d’être totalement ailleurs.
Nous avons la chance d’être dans le parfait timing pour l’animation du pavillon : un jeu de tambours par 3 CM.
Et ensuite on rentre dans le temple des goodies en tout genre, le pavillon de la tentation absolue ! Et il y a tellement, tellement de chose qui nous parle dans les dérivés de la Japanime. Je fonds littéralement devant certains articles à l’effigie de mes personnages préférés. Mickaël essayera même le sweet de Link.
Cette boutique est géniale ! Il y a tellement de choses qu’on a l’habitude de voir uniquement sur internet (ou pas d’ailleurs) et tellement de choix qu’on a envie de craquer sur tout 😀
Le pavillon est profond et divisé en plusieurs zones. Je dirai que la première zone est la « fan zone » où les amateurs de manga trouveront leur bonheur facilement.
La zone du milieu est plus pour les amateurs de belles choses qui brillent, tels les bijoux. C’est d’ailleurs celle qui se trouve le plus proche de l’activité des perles qui attire tant de monde.
On a hésité pour faire l’activité avec les perles, mais comme je n’aime pas les perles, j’estime que c’est un peu du gâchis.
Et de toute manière, il y avait tellement de monde qui attendait pour ça qu’on aurait perdu masse de temps juste pour faire l’activité.
Et la dernière zone, la plus au fond du magasin, c’est la zone plus traditionnelle, avec des pièces qui font rêver.
Il y a également énormément d’articles alimentaires. Nous avons eu l’occasions d’en gouter quelques un pendant notre récent séjour en Thaïlande. Cela dit, je ne sais pas à combien était la boite de Pocky (assez semblable à nos Mikado – dont c’est la même marque d’ailleurs) mais connaissant Disney, ça devait être un prix plus que surévalué.
Aussi étonnant que cela puisse paraître, nous nous sommes contentés de regarder de loin. Nous passerons une bonne heure à regarder tout ce qu’on peut trouver dans cette immense boutique, mais en résistant jusqu’au bout sans craquer complètement le portefeuille. Nous avons juste acheté une mini-poupée en souvenir.
C’est la fin du séjour, et soit les objets sont trop gros pour être ramenés, soit c’est des gros craquages qu’on ne peut plus se permettre. Et pourtant, la tentation était bien là !
Ce sera notre dernière visite de pavillon, et c’est là que nous décidons de mettre un terme à l’exploration.
Nous quittons World Showcase en passant par la droite, faisant une halte pour une dernière photo souvenir, avec en plus un photographe français.
Un ancien marseillais qui a décidé il y a des années de venir s’installer en Floride 😀
Nous repassons devant le pavillon norvégien où nous avions fait notre première halte, devant le pavillon mexicain où nous avons eu de belles surprises.
Nous ferons plusieurs sessions de PhotoPass avant de partir définitivement, histoire d’en profiter jusqu’au bout. A ce moment, nous avons encore à l’esprit de revenir un peu plus tard dans Future World.
Mais pour le moment, nous devons partir au Wilderness car à 16h, nous avons une réservation pour notre dernier repas à Disney World.
Lorsqu’on arrive au Wilderness Lodge, moi qui ne suis d’ordinaire pas fan de tout ce qui est en bois, je ne m’attends pas du tout à ressentir un coup de cœur immédiat.
Le lobby est magnifique et très chaleureux.
Même réaction pour moi, j’aime plus le bois qu’Elia, mais là, le resort me faisait très envie. C’était très chaleureux, comme un chalet de montagne en plein hiver 🙂
On cherche vers où nous devons nous rendre pour s’enregistrer. Pour une fois nous ne sommes pas en retard et avons même 20 minutes d’avance. J’en étais bien contente, jusqu’à ce qu’on se rende compte grâce à un CM qu’en fait c’est à Fort Wilderness qu’il fallait aller. Obligé donc de prendre soit un bus, soit la navette fluviale pour s’y rendre.
Va savoir pourquoi, je me dis que la navette ira plus vite. C’était sans compter le fait qu’elle mette d’abord le cap vers le Contemporary. Au moins ça nous aura permis de faire une petite balade sur le lac.
Faute sur moi aussi, j’ai mis Wilderness sans vraiment chercher dans Google Maps, sans vérifier lequel c’était… On passe de « on est larges » à « on est à la bourre ».